SERMENT OU PARJURE
Croix Suisse
OATH or BETRAYAL

Ce site a pour but de rompre le silence sur les crimes économiques commis avec le pouvoir de magistrats qui violent leur Serment d'observer la Constitution et avec le pouvoir d'avocats qui abusent des privilèges qui les lient aux Tribunaux

 


LA PEGRE SUISSE, LES ROIS DU PARJURE

Pour illustrer ce fléau suisse, on prendra la félonie de Micheline Calmy-Rey avec ses protégés.

UN CRIME PRESQUE PARFAIT COMMIS PAR UN AVOCAT AVEC LE POUVOIR DU TRIBUNAL FEDERAL
Me Foetisch
Micheline
Dr Claude Rouiller
President Lausanne Palace
President Confédération
Président du Tribunal fédéral
Dr Patrick Foetisch
Mme Micheline Calmy-Rey
Dr Claude Rouiller

 

  Introduction à la félonie de Micheline Calmy-Rey

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En 1995, Patrick Foetisch, President administrateur s'accapare par une escroquerie du produit multimédia développé par la startup à M. Erni. Ensuite, il immobilise l'entreprise à M. Erni en se servant du pouvoir des avocats. Il s'agit de la première génération des applications multimédia interactive qui utilisent la technologie numérique pour communiquer et vendre par l'image. Ces applications permettent d'utiliser internet pour passer des commandes. M. Erni est l'un des pionniers à avoir incorporé de la publicité dans son application pour la financer. Il s'agit d'un produit similaire à celui développé par Jeff Bezos à la même époque aux USA qui a fait le succès d'AMAZON en exploitant les technologies nouvelles du numérique. Pendant que M. Erni a son entreprise immobillisée, un des amis à M. Foetisch lance une entreprise pour exploiter le produit volé.

  M. Foetisch est le President du Conseil d'administration de la société qui a commis l'escroquerie. Il justifice l'escroquerie en expliquant qu'il a deux casquettes, celle de President administrateur, mais aussi celle d'avocat. Il affirme qu'avec les relations qui lient les avocats aux Tribunaux et ses relations en haut lieu il est intouchable. En l'occurence cette année, c'est le Dr Claude Rouiller qui est le Président du Tribunal fédéral.
Me Foetisch ajoute que si M. Erni veut porter plainte, non seulement ses infractions ne seront jamais instruites, mais il le fera démolir à faire de la procédure inutile en se servant du pouvoir des Tribunaux.
  Due à l'escroquerie et à l'immobilisation de son entreprise par des membres de la pègre suisse complices de Me Foetisch, M. Erni perd son entreprise, soit un dommage de plusieurs millions. Toutes les pièces pour prouver l'escroquerie existent. Faisant confiance aux droits garantis par la Constitution suisse, M. Erni porte plainte.
M. Foetisch tient alors ses promesses. Il lui montre comment les Tribunaux vicient les procédures et se servent de leur pouvoir pour commettre du crime organisé avec les membres des confréries d'avocats.
En 2001, sur la base de la forfaiture et parjure de juges fédéraux, M. Erni dépose une plainte contre des Juges fédéraux. Des membres de la pègre suisse tenteront d'intimider M. Erni par des actions de malveillance. La plainte ne sera jamais instruite.
  En 2002, M. Foetisch doit avoir quelques vapeurs parce que son ami avec lequel il a commis l'escroquerie va tomber. Sa chute devrait l'éclabousser. A nouveau la procédure judiciaire est viciée à la moelle. Son ami meurt, sans raison, mais juste à temps pour éviter l'éclaboussement. Cette fois, les avocats emploient les Grands moyens pour obtenir le silence de M. Erni. Me Ives Burnand, confrère à M. Foetisch l'accuse faussement en attribuant astucieusement des propos faux à un témoin. Par ce procédé M. Erni passe de victime en accusé. Ce témoin est le seul témoin qui peut démentir les propos faux qui lui ont été attribués.
Il suffit à M. Erni de faire témoigner ce témoin pour rétablir la Vérité. M. Erni apprend alors que ce témoin a été interdit de témoigner par la confrérie à Me Yves Burnand ce qui démontre bien la dénonciation calomnieuse et la machination.
Le jour du procès, le Président du Tribunal est sommé de faire témoigner ce témoin pour prouver la dénonciation calomnieuse. Ce dernier refuse en expliquant que son Tribunal a son pouvoir réduit par les confréries d'avocats. Dans le cas présent, il ne peut pas faire témoigner ce témoin de crimes interdit de témoigner par une confrérie d'avocat.
C'est une violation manifeste des droits garantis par la Constitution !
Tout ce procès est secret, les enregistreurs ont été saisis, M. Erni se fait menacer dans les couloirs du Tribunal (il n'y avait pas de caméra). Le crime est presque parfait, à part que le Public présent dans la salle prend des notes. Il constate la violation des droits garantis par la Constitution et il dépose une demande d'enquête parlementaire sur les relations qui lient les avocats à la justice auprès du Grand Conseil vaudois. Sans ce témoignage du public, le crime commis par la pègre suisse aurait été parfait !
Cette demande d'enquête parlementaire montrent comment les magistrats, membre de la pègre suisse, peuvent violer les droits garantis par la Constitution fédérale en utilisant des procédures viciées. C'est le même type de méthode que celles décrites par Bradley birkenfeld qui ont servi à violer la loi américaine. Pour consulter le texte original de la demande d'enquête parlementaire, cliquez ici.

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Le Grand Conseil vaudois va alors demander un avis de droit au Dr Claude Rouiller, le Président du Tribunal fédéral en 1995, soit l'une des hautes relations à Me Foetisch qui le rendait intouchable.
C'est Me Schaller qui représente M. Erni et qui suit le dossier.
Le Dr Claude Rouiller fera une fausse expertise, il n'invitera pas Me Schaller le représentant légal de M. Erni, ni les représentants du Public qui ont déposé la demande d'enquête parlemtaire pour présenter son expertise sur leur demande d'enquête parlementaire. Du jamais vu de la part d'un Professeur de droit !
Le public qui a déposé la demande d'enqête parlementaire et Me Schaller protesteront et demanderont que le Dr Claude Rouiller leur présente son expertise. Il a refusé. Une interruption de prescription pour fausse expertise l'atteste.
Il est toujours le bienvenu à venir présenter son expertise en public et même à la télévision suisse et étrangère !

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Dans le cadre de cette affaire, le Conseil fédéral a dit à M. Erni de déposer une demande en responsabilité des agents de la Confédération.
Micheline Calmy-Rey, Présidente de la confédération, s'est alors parjurée en violant manifestement les Valeurs de la Constitution
  Micheline Calmy-Rey qui est assermentée, a alors été invitée à attester qu'elle avait respecté son Serment. Elle a refusé de confirmer qu'elle avait respecté son Serment, mais elle n'a pas annulé sa décision !

 


 

SOMMAIRE :

1 LES VALEURS SUISSES et DROITS FONDAMENTAUX
1.1 Preambule
2 Definition
   
3 LA LOI SUPREME SUISSE : LA CONSTITUTION
3.1 Principe de fonctionnement de la Constitution
3.2 Application de la Constitution
3.3 Le Contrôle de la bonne appliation de la Constitution est garanti par le Serment du Conseil fédérall
3.4 Checkliste de contrôle du respect de la Constitution (non activé)
   
4 MOYENS PERMETTANT D'ENRAYER LE BON FONCTIONNEMENT DE LA CONSTITUTION
4.1 Parjure du Serment de respecter la Constitution fédérale
4.2 Violation de la séparation des pouvoirs
4.3 Codes viciés
4.4 Lois d'application viciées
4.5 Procédures viciées et abusives
4.6 Relations liant les confréries d'avocats aux Tribunaux
4.7 Privilèges accordés aux Confréries d'avocats
4.8 Arrets viciés du Tribunal fédéral
4.9 Documents viciés en général
   
5 PRIVILEGES ACCORDES AUX AVOCATS QUI VIOLENT LA CONSTITUTION
5.1 Demande d'autorisation au Bâtonnier pour porter plainte contre un avocat d'affaire
5.2 Protection de la double casquette
5.3 Réduction du pouvoir des Tribunaux par les Confréries
5.4 L'absence de séparation des pouvoirs
5.5 La protection du Tribunal fédéral pour commettre des crimes en toute impunité
   
6 VIOLATION DES VALEURS CONSTITUTIONNELLES
6.1 Les observations du sénat américain
6.2 Les observations du public suisse
   
7 CONCLUSION
   
8 ANNEXE : LE PARJURE DE MICHELINE CALMY-REY

 


 

1 LES VALEURS SUISSES ET LES DROITS FONDAMENTAUX GARANTIS PAR LA CONSTITUTION FEDERALE (la loi suprême)
 

Pour ceux qui ne connaissent pas les droits fondamentaux garantis par la Constitution fédérale qui est la loi suprême de la Suisse, vous pouvez les trouver sous l'onglet : "Valeurs suisses"

Vous pouvez aussi trouver le texte de la Constitution fédérale sur le site de la Confédération www.admin. ch :

Constitution fédérale

N'oubliez pas que les Conseillers fédéraux et les magistrats sont les serviteurs de tous les citoyens. Ils ont l'obligation par leur Serment de respecter ces droits pour tous les citoyens. Ils ne peuvent en aucun cas appliquer une procédure qui viole visiblement les droits fondamentaux. Notre nation est souveraine et elle n'a jamais permis de tels abus de pouvoir.

 

1.1 PREAMBULE
  La Suisse est aux abois. Le fonctionnement de la Constitution fédérale s'est enrayé depuis plusieurs années. Des codes de procédures viciés, des magistrats qui violent leur Serment et les privilèges accordés aux avocats, enrayent le bon fonctionnement de la Constitution.
  Les pays étrangers sont exaspérés par l'incapacité du Conseil fédéral à faire respecter les Valeurs de la Constitution. Ils ont apporté la preuve que des entreprises suisses violent leurs lois avec des méthodes de gangster. Notamment elles mettent en place des procédures viciées pour contourner le respect des lois. Ces procédures ont été exposées au Conseil fédéral. C'est seulement sous la menace de représailles que le Conseil fédéral a enfin légiféré ponctuellement pour mettre fin à ces crimes. Il s'agit de la fin du secret professionnel des banques.
  Les Suisses sont aussi exaspérés par des magistrats qui violent leur Serment de respecter la Constitution. Les employés d'entreprises dont les dirigeants commettent des crimes à l'étrangers ont peur d'être arrêtés, ils n'osent plus voyager à l'étranger. C'est du jamais vu dans l'histoire de la Suisse. L'ancienne Présidente de la Confédération, Micheline Calmy-Rey s'est parjurée pour permettre aux entreprises de commettre de la criminalité économique en toute impunité. Les procédures viciées décrites par les pays étrangers pour commettre des crimes sur leur territoire sont aussi appliquées par la pègre suisse pour contourner le respect de la Constitution fédérale en Suisse.
  Le Conseil fédéral n'a plus aucun indicateur sur le bon fonctionnement de la Constitution. Il n'a toujours pas pris de mesure pour lutter contre la pègre suisse qui enraye le bon fonctionnement de la Constitution.
 

Nous allons ici :
1)
rappeler le principe de fonctionnement de la Constitution fédérale (voir point 3 ci-dessous),
2) présenter les méthodes mises en place par la pègre suisse pour enrayer son fonctionnement (voir point 4 ci-dessous)
3) présenter les pouvoirs accordés aux avocats qui violent la Constitution (voir point 5 ci-dessous).

Ces méthodes de la pègre suisse sont bien connues de la magistrature. Elle ne le sont pas des citoyens qui sont désinformés par la magistrature. Il ne suffit pas au Tribunal fédéral d'émettre un arrêt pour que cet arrêt ne soit pas déloyal.

Les représailles du Sénat américain ont mis en évidence que la Suisse ne respecte plus les Valeurs de sa Constitution.

Après avoir exposé les méchanismes utilisés par la pègre suisse pour commettre des crimes avec le pouvoir des Tribunaux, on traitera un cas pratique réel pour que ceux qui découvrent ces méthodes puissent en mesurer la réelle portée. La pègre suisse.

Il s'agit du cas où Micheline Calmy-Rey s'est parjurée pour couvrir de la criminalité économique commise par des membres de confréries d'avocats. En violant son Serment de respecter son devoir de fonction, elle a mis en place un nouveau verrou fédéral qui permet aux banques et avocats d'utiliser des avocats écrans pour commettre des crimes en toute impunité avec la protection du Tribunal fédéral. C'est un cas d'école qui est toujours d'actualité.

  Chacun y reconnaîtra l'équivalent des méthodes décrites par Bradley Birkenfeld pour contourner la loi américaine uitlisée sans vergogne par les plus hauts magistrats de notre pays.
  Finalement, on exigera des magistrats qui prennent des décisions dans ce cas d'école d'attester qu'ils ont respectés leur Serment d'honorer la Constitution fédérale lors de leur décision, voir onglet Serment / Parjure.
  Ce sera l'occasion de découvrir la face cachée de magistrats qui gouverne actuellement la Suisse

 

2 DEFINITION
  L'OMERTA est la loi du silence. Elle existe aussi en Suisse. Lorsque des citoyens adressent un courrier à des députés ou à des parlementaires apportant les preuves d'abus de pouvoir ou de violation des droits constitutionnels par de hauts dirigeants, ils ne recevront pas de réponse. Lorsqu'un employé d'une entreprise est témoin que son entreprise viole intentionnellement les lois d'un pays, il doit se taire pour ne pas être liciencié. Lorsque des journalistes sont mis au courant d'un cas d'abus de pouvoir. Il vous diront qu'ils n'osent pas en parler de peur de représailles, voir d'être limogé.
  La PEGRE est le milieu du crime organisé. Par définition, on appelle ici la "Pègre suisse" l'ensemble des magistrats assermentés qui violent l'article 35 de la Constitution fédérale. L'ensemble des personnes qui assument une tâche de l'Etat et qui violent aussi cet article 35 de la Constitution. L'ensemble des personnes qui observent l'OMERTA sur la violation de l'article 35 de la Cconstitution par des magistrats assermentés, alors qu'elles ont été invitées à agir et qu'elles ont le pouvoir d'agir. L'ensemble des avocats qui abusent de leurs privilèges pour couvrir la criminalité économique et le crime organisé.
  La DEMOCRATIE est une organisation politique où le peuple est souverain. La loi suprême d'une démocratie est la Constitution. Elle est votée par le peuple et ce dernier la fait vivre.
  La CONSTITUTION FEDERALE est la loi suprême de la Suisse, toutes les lois secondaires et les codes de procédures doivent être établis pour faire respecter la loi suprême.

 

3 LA LOI SUPREME SUISSE : LA CONSTITUTION FEDERALE

 

3.1 PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DE LA CONSTITUTION FEDERALE
  La Constitution fédérale est la loi suprême de la Suisse. Elle exprime la volonté du peuple suisse qui est souverain
  Le Parlement est élu par le peuple. Il a l'obligation de mettre en place les lois et les codes de procédures nécessaires à faire respecter la Constitution fédérale. Il doit veiller à ce que les lois secondaires et procédures soient adaptées aux conditions du moment pour respecter la Constitution fédérale.
  Le gouvernement doit appliquer la loi suprême. Au cas où les lois secondaires et procédures ne sont pas ou plus adaptées à la situation du moment, il a le devoir de proposer au Parlement des lois secondaires pour compenser les lacunes du moment
  Pour s'assurer que le Parlement et le gouvernement respecte les droits fondamentaux garantis par la loi suprême, le peuple suisse a mis dans la Constitution l'article 35 Cste qui les oblige à le faire.
 
Art. 35 Réalisation des droits fondamentaux

1  Les droits fondamentaux doivent être réalisés dans l'ensemble de l'ordre juridique.
2  Quiconque assume une tâche de l'Etat est tenu de respecter les droits fondamentaux et de contribuer à leur réalisation.
3 Les autorités veillent à ce que les droits fondamentaux, dans la mesure où ils s'y prêtent, soient aussi réalisés dans les relations qui lient les particuliers entre eux

 

3.2 APPLICATION DE LA CONSTITUTION
 

La rédaction des lois secondaires et des codes de procédures pour appliquer la Constitution est de la responsabilité du Parlement et des parlements cantonaux. Ces dernierr sont tenu de veiller au respect de la Constitution lors de leur rédaction comme le précise l'article 35 cste.

  La responsabilité de la bonne application de la loi suprême revient au Conseil fédéral, il est tenu par serment de respecter la Constitution selon l'article 35 cste.

3.3 LE CONTROLE DE LA BONNE APPLICATION DE LA CONSTITUTION EST GARANTI PAR LE SERMENT DU CONSEIL FEDERAL
  Une Constitution qui n'est pas appliquée ne sert à rien.
Si la volonté du peuple souverain n'est pas respectée, il n'y a plus d'Etat de droit
  Pour assurer que la Constitution fédérale soit respectée, l'assemblée fédérale fait prêter Serment aux Conseillers fédéraux de respecter la Constitution fédérale.
 
  Légende : le Président de la Confédération prêtant serment de respecter la Constitution
 
Je jure devant Dieu tout puissant d'observer la Constitution et les lois et de remplir en conscience les devoirs de ma charge.
Drapeau suisse
Didier Burkahlter
Drapeau suisse
 

Serment de Didier Burkhalter
Président de la Confédération

 

Note :
Il ne suffit pas à un chef d'Etat de dire : "je jure d'observer la Constitution de mon pays pour que ce soit vrai".
De plus en plus de chef d'Etat se font inculper après leur Présidence. Qu'il s'agisse de M. Chirac, M. Sarkosy, etc. pour n'avoir pas respecté la loi de leur pays.
La Suisse n'échappe pas à la règle. La félonie de Micheline Calmy-Rey pour couvrir le crime organisé montre qu'elle a parjuré son Serment de respecter la Constitution fédérale de manière particulièrement grave.
En Suisse contrairement à l'étranger, les magistrats qui violent leur Serment jouissent de la protection presque absolue de la pègre, laquelle contrôle les Tribunaux


 

3.4 CHECKLISTE DE CONTROLE DU RESPECT DE LA CONSTITUTION (NON ACTIVE)
  Depuis les années 90, avec l'ouverture des marchés internationaux, il est admis dans l'industrie que l'assermentation d'une personne n'est pas une garantie suffisante pour assurer le respect d'une loi. La personne peut-être malhonnête ou distraite. Il faut au minimum un enregistrement daté et signé de la personne qui confirme qu'elle a respecté tous les points de la loi.
Le document le plus utilisé et efficace est une checkliste énumérant les points à vérifier. La personne assermentée n'a qu'à cocher les points de contrôle et à les viser pour confirmer qu'elle a fait le contrôle.
Ce document évite l'oubli d'une personne distraite. En cas de parjure de la personne assermentée, il y a une pièce écrite qui permet de vérifier les faits et de la faire juger si elle s'est parjurée.
Actuellement, il n'y a pas de document permettant de contrôler qu'un magistrat a respecté l'article 35. Il faut le lui demander à chaque fois.
Visiblement MIcheline Calmy-Rey a violé son Serment parce qu'il n'y avait pas de contrôle écrit qui l'en aurait dissuadé !

4 MOYENS PERMETTANT D'ENRAYER LE BON FONCTIONNEMENT DE LA CONSTITUTION

4.1 PARJURE DU SERMENT DE RESPECTER LA CONSTITUTION FEDERALE
 

Le parjure du Serment de respecter l'article 35 ct de la Constitution est l'un des éléments principaux utilisés par la pègre suisse pour commettre des crimes.
Par la violation de ce Serment, les Tribunaux et les avocats peuvent violer le respect des droits fondamentaux en viciant des procédures.
Chaque année des magistrats et des fonctionnaires de l'Etat parjurent leur Serment de respecter les droits garantis par la Constitution pour des questions d'intérêt privé, de copinage, etc. Cela va des agents de l'ordre, jusqu'au magistrat les plus hauts de la Confédération.
Le parjure de Micheline Calmy-Rey est un des exemples qui montrent que l'assermentation d'un magistrat n'est pas suffisante pour garantir le respect des droits garantis par la Constitution.

Le parjure par un Conseiller fédéral de son Serment de respecter la Constitution enraye de manière dramatique le bon fonctionnement de la Constitution. La méthode utilisée par Micheline Calmy-Rey pour permettre le crime organisé avec le secret professionel de l'avocat est pire que les méthodes utilisées par UBS et décrites par Bradley Birkenfeld, pour tromper le fisc américain, (voir annexe point 8)

4.2 Violation de la séparation des pouvoirs
 

En Suisse, il n'y a pas d'école de magistrature. Les avocats et les juges appartiennent à la même famille. Le choix des juges se fait souvent par des avocats députés qui ont des intérêts cachés avec les magistats qu'ils proposent comme juge. Le législateur, composé en grande partie d'avocats, a prévu des privilèges pour les avocats et leur Confrérie. Ces privilèges dont le secret de l'avocat peuvent être utilisés pour commettre de la criminalité. Ils réduisent le pouvoir des tribunaux. Le législateur n'a pas pensé que des avocats allaient utiliser la réduction du pouvoir des Tribunaux découlant de leurs privilèges pour commettre des crimes. Dès qu'un avocat se sert du pouvoir des Tribunaux avec ses privilèges pour commettre des crimes, il n'y a plus de séparation des pouvoirs. Dans ce cas les droits fondamentaux des victimes sont d'office violés.

Les privilèges accordés aux avocats qui leur permettent d'utiliser les Tribunaux pour commettre des crimes en toute impunité violent manifestement la séparation des pouvoirs. Cette violation de la séparation des pouvoirs enraye complètement le bon fonctionnement de la Constitution dans le cadre de crimes commis par des avocats. Les Tribunaux chargés de faire respecter la Constitution deviennent ceux qui violent la Constitution.

4.3 Codes de procédure viciés
 

Les codes de procédures ont été rédigés pour permettre la criminalité commise par des avocats et des initiés en violant astucieusement la loi suprême, soit la Constitution. Ils permettent d'utiliser des méthodes occultes, sans aucun contrôle, aussi astucieuses que les méthodes décrites par Bradley Birkenfeld pour contourner la loi suprême. Ils permettent de vicier les documents officiels en empêchant astucieusement d'établir la Vérité dans le respect des droits garantis par la Constitution.

Au code pénal, un exemple qui donne la chair de poule aux américains est le fait qu'un prévenu peut mentir en Suisse. Rien de ce qu'il dit ne pourra être retenu contre lui. Alors qu'aux USA, dès qu'une personne est prévenue, on l'informe qu'elle a le droit de se taire mais que tout ce qu'elle dit pourra être retenu contre elle. Ce petit détail mis en place par la pègre suisse permet à n'importe quel menteur qui connaît la loi Suisse d'enrayer le fonctionnement de la Constitution.
En Suisse, un juge peut retirer des preuves d'un dossier lorsqu'il le transmet à l'avocat d'une victime d'un crime d'homme de loi, puis les remettre dans le dossier pour fausser le cours du procès, il n'y a aucun contrôle. En suisse, le code pénal ne prévoit pas que le respect des droits fondamentaux est l'objectif du magistrat. Ces méthodes permettent d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution. Le code pénal sert à couvrir les crimes de la pègre suisse protégée par des confréries d'avocats.

4.4 Procédures viciées
 

Le pouvoir donné à un magistrat lui permet de vicier n'importe quelle procédure. Il lui suffit d'exclure les éléments qui montrent que la procédure ne peut pas être appliquée de la manière dont il le fait. Il en a le pouvoir s'il ne respecte par l'article 35 de la Constitution.

Dès qu'un magistrat ne respecte l'article 35 de la Constitution, il peut vicier les procédures et enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution fédérale. Par exemple, en Suisse un Juge peut introduire le témoignage d'un témoin qui n'a jamais existé dans une ordonnance pour vicier son jugement et couvrir par exemple les crimes d'un avocat. Ce sont les méthodes analogues à celles décrites par Bradley Birkenfeld qui permettent aux magistrats d'enrayer complétement le bon fonctionnement de la Constitution.

4.5 Procédures abusives
 

Les privilèges accordés aux avocats dont les protections des tribunaux leur permettent de créer du dommage à des citoyens avec le pouvoir de l'Etat, en leur faisant faire des procédures abusives et viciées.

Par exemple, un avocat peut attribuer des propos faux à un témoin de son crime pour accuser un autre citoyen à sa place. Il a le pouvoir d'interdire au Juge de faire témoigner ce témoin. Avec ces méthodes de gangster qui rappellent celles décrites par Bradley Birkenfeld, n'importe quel citoyen peut se faire juger sur la base de mensonges établis par des confréries d'avocats.

Le parjure de Micheline Calmy-Rey qui légalise ces méthodes de la pègre suisse permet d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution.

4.6

Relations liant les confréries d'avocats aux Tribunaux

 

Les relations qui lient les membres des confréries d'avocats aux Tribunaux permettent d'empêcher le dépôt d'une plainte pénale contre un avocat qui a commis un crime. Elles permettent d'empêcher l'instruction de son infration. Elles réduisent le pouvoir des Tribunaux. Elles permettent d'accorder l'impunité à l'avocat. Elles permettent d'utiliser le pouvoir des Tribunaux pour harceler les victimes de ces crimes à faire de la procédure abusive.

Le parjure de Micheline Calmy-Rey qui occulte astucieusement et couvre ces méthodes de la pègre suisse permet d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution.

4.7 Privilèges accordés aux Confréries d'avocats
 

Les privilèges accordés par le législateur aux Confréries d'avocats dans le cadre de crimes commis par des avocats violent d'office l'égalité de traitement devant la loi.

Par exemple : Celui qui veut porter plainte pénale contre un Président administateur n'a pas besoin d'autorisation du Bâtonnier pour se faire défendre par un avocat. Celui qui veut porter plainte contre un Président administrateur avocat aura besoin d'une autorisation du Bâtonnier pour se faire défendre par un avocat. Il en résulte que les privilèges enrayent de manière catastrophique le bon fonctionnement de la Constitution

4.8 Arrets viciés du Tribunal fédéral
 

Le Tribunal fédéral, au profond mépris du respect de la Constitution, a prévu toute une série d'arrêts déloyaux pour entraver les actions judiciaires engagées contre des avocats.

Par exemple, il admet astucieusement qu'un Tribunal ne peut pas faire témoigner un témoin de crime interdit de témoigner par une Confrérie d'avocat. Le parjure de Micheline Calmy-Rey qui occulte ces méthodes de la pègre suisse permet d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution.

4.9 Documents viciés en général
 

En Suisse, le pouvoir accordé aux Tribunaux leur permet de vicier les documents. Du moment qu'un magistrat ne respecte pas l'article 35 cste, tout est permis pour fausser la Vérité. Les pratiques les plus courantes sont l'omission de faits en faveur d'une partie pour falsifier les jugements. L'omission de faits est aussi subtile que les méthodes décrites par Bradley Birkenfeld pour tromper la justice américaine. Le magistrat suisse peut refuser d'entendre les principaux témoins d'un crime, écarter des faits ou reformuler astucieusement des faits décrits par des témoins lors de leur verbalisation. Ecarter les pièces gênantes et ne pas poser les questions essentielles aux témoins pour empêcher la Vérité d'être établie. Il y a toute une série de procédure qui permettent d'entraver le respect des Valeurs de la Constitution. Par exemple les ordonnances qui ne sont pas envoyées aux personnes concernées !, etc.

Par exemple, dans le cas de l'affaire du Parjure de Micheline Calmy-Rey, on a vu des preuves à charge qui disparaissaient des dossiers, des témoins qui n'avaient jamais existés qui apparaissaient dans des ordonnances, soit un ensemble d'éléments qui permettent d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution et qui apparaîtrait si les audiences étaient filmées comme aux USA.

   

 

 

5 PRIVILEGES ACCORDES AUX AVOCATS QUI VIOLENT LA CONSTITUTION

5.1 Demande d'autorisation au Bâtonnier pour porter plainte contre un avocat d'affaire
 

Lorsque M. Erni a voulu porter plainte pénale contre le Président administrateur Foetisch, son Conseil lui a appris qu'il fallait une autorisation du Bâtonnier pour porter plainte car le Président admnistrateur avait une casquette d'avocat. M. Erni ayant son entreprise immobilisée par M. Foetisch, a dû attendre des semaines pour obtenir l'autorisation. Finalememt, juste avant la pescription de la violation du copyright qui est à trois mois, le Bâtonnier, voisin de pallier de M. Foetisch, a refusé de donner l'autorisation. N'importe quel chef d'entreprise qui a son entreprise immobilisée par une escroquerie, et qui doit attendre des semaines une autorisation pour pouvoir déposer une plainte pénale subit un dommage considérable par ces discriminations. Les avocats n'avisent pas leurs clients qu'il faut une demande d'autorisation du Bâtonnier pour porter plainte contre un Président administrateur qui a une casquette d'avocat.

La demande d'autorisation est une discrimination manifeste devant la loi soit une violation des droits fondamentaux. C'est une procédure déloyale qui permet à des professionnels de la loi d'entraver l'action judiciaire

5.2 Protection de la double casquette
 

Dans l'introduction à la félonie de Micheline Calmy-Rey, on a vu qu'un Président administrateur avocat, peut commettre un crime en tant qu'administrateur et utiliser son Titre d'avocat pour obtenir l'immunité. voir introduction à la félonie de micheline

Le fait qu'un avocat peut à la fois commettre un crime en tant qu'homme d'affaire et à la fois se prévaloir de son Titre d'avocat pour jouir de la protection des Tribunaux viole manifestement le respect des droits fondamentaux.
Par exemple, dans le cadre de cette escroquerie, M. Foetisch président administrateur de la société ICSA avait mandaté l'avocat Me Foetisch pour défendre ICSA. C'était le même homme. L'avocat Me Foetisch, représentant la société du Président administrateur Foetisch s'est servi d'un faux contrat astucieux pour commettre l'escroquerie. Dans les Tribunaux, les juges obéissent à l'avocat Me Foetisch. A la demande de Me Foetisch, un juge neuchâtelois a même interdit lors d'une audience de Tribunal que l'on parle du faux contrat utilisé par M. Foetisch. La protection de la double casquette donne un pouvoir aux avocats qui les met au-dessus des juges. Elle viole l'égalité devant la loi et l'accès à des Tribunaux indépendants.

5.3 Réduction du pouvoir des Tribunaux par les Confréries d'avocats
 

Le fait que le Bâtonnier a interdit que la plainte puisse porter contre le Président administrateur Foetisch, parce qu'il était avocat, réduit le pouvoir des Tribunaux et viole les droits fondamentaux. Le citoyen qui n'a pas étudié le droit, qui ne sait pas qu'il faut une autorisation du Bâtonnier pour porter plainte contre un Président administrateur, est d'office discriminé pour faire respecter ses droits fondamentaux. Il n'a aucune possibilité de se faire défendre par un avocat de manière équitable. Ces derniers étant liés aux Tribunaux.

Il faut souligner que les confréries d'avocats sont des associations privées. Il n'y a aucune raison que ces associations privées disposent de protection des Tribunaux et qu'elle puissent par exemple interdire astucieusement qu'un juge puisse faire témoigner un témoin alors que les autres associations n'ont pas ce pouvoir. Ce sont les codes de procédures qui violent la Constitution fédérale. Les codes de procédures et les règles de déontologies réduisent le pouvoir des juges à celui de laquais de luxe des avocats pour contourner le respect des droits fondamentaux.

5.4 L'absence de séparation des pouvoirs et d'indépendance des Tribunaux
 

Les faits.....
.... qu'un Président de Tribunal ne peut pas faire témoigner un témoin interdit de témoigner par une confrérie d'avocat
.... que les juges ne sont que les laquais de luxe des avocats (voir point 5.3 ci-dessus)
.... qu'un juge peut interdire que l'on prononce le terme de faux contrat dans un Tribunal à la demande de celui qui a commis une escroquerie avec un faux contrat,
....qu'un Président administrateur avec une casquette d'avocat peut se prévaloir de sa casquette d'avocat pour entraver l'action judiciaire,
etc....
...... montrent qu'il n'y a pas de séparation des pouvoirs entre les membres des confréries d'avocats et que les avocats peuvent se servir du pouvoir des Tribunaux pour commettre des crimes en toute impunité.

L'absence de séparation des pouvoirs entre les confréries d'avocats et les Tribunaux avec les liens qui lient les avocats aux Tribunaux viole manifestement les droits fondamentaux. Les Tribunaux ne sont ni neutres ni indépendants pour juger des cas de crimes commis par des membres de confréries. Il s'agit d'une violation manifeste des droits fondamentaux. Plus grave encore, avec les codes de procédures et les règles de déontologies actuelles, le rôle des Tribunaux est réduit à celui de laquais de luxe des avocats. En particulier, la pègre des avocats suisses peut utiliser le pouvoir des Tribunaux pour commettre des crimes et faire faire de la procédure abusive à leurs victimes en toute impunité.

5.5 La protection du Tribunal fédéral accordée aux avocats pour commettre des crimes en toute impunité
 

Le Tribunal fédéral n'échappe pas à la règle.
L'exemple du Dr Claude Rouiller qui a fait une fausse expertise pour couvrir les crimes à Me Foetisch n'est pas une exception.
Me Philippe Bauer, ancien Président du Grand Conseil neuchâtelois, a obtenu que ses laquais de luxe du Tribunal fédéral, reconnaissent par un arrêt astucieusement vicié que la réduction du pouvoir des juges par les confréries d'avocats n'est pas une atteinte à la personnalité des victimes de tels crimes.
Pour les juges fédéraux, il est normal qu'un Président de Tribunal ne puisse pas faire témoigner un témoin de crimes d'hommes de loi interdit de témoigner par la confrérie d'avocat du criminel. En d'autres termes, le Tribunal fédéral reconnaît aux Confréries d'avocats le droit de réduire le pouvoir des Tribunaux dans le cadre de crimes commis par des avocats qui utilisent le pouvoir des Tribunaux pour commettre leurs crimes.

Un tel arrêt viole manifestement les règles de la bonne foi et les droits fondamentaux, il est un cas d'école. Il montre surtout qu'il y a eu violation de la séparation des pouvoirs. Dans le cas ci-dessus, les juges fédéraux assermentés avaient l'obligation de se récuser pour respecter leur Serment, ils ne pouvaient pas prendre une décision sur des crimes commis avec le pouvoir de leur Tribunal !

Cet arrêt montre comment les relations qui lient les confréries d'avocats au Tribunal fédéral leur permettent de vicier les documents officiels en écartant tous les faits qui montrent la violation des droits fondamentaux garantis par la Constitution fédérale. Le Tribunal fédéral avec les confréries d'avocats utilisent les méthodes procédurales décrites par Bradley Birkenfeld aux USA pour contourner astucieusement la Constitution suisse.

Après les directeurs de banque qui se font arrêter aux USA pour contourner la loi américaine, ce sera peut-être demain les avocats écran et les juges fédéraux qui les protègent qui seront arrêtés aux USA pour manipuler astucieusement les procédures pour contourner le respect de la loi suprême.

 

6 VIOLATION DES VALEURS CONSTITUTIONNELLES

 

6.1 Les observations du Sénat américain pour les crimes commis avec le secret professionnel des banques
 

Le Sénat américain a observé que les méthodes mises en place par les banques pour commettre de la criminalité économique sont des méthodes de gangster. Ce sont des procédures déloyales.
Il n'a même pas été question de savoir si ces procédures étaient légales ou non. Ils ont simplement constaté que la loi suprême des USA était manifestement violée par ces procédures.
Le Sénat américain a montré qu'un crime ne peut pas être justifié avec des procédures déloyales. Il y a une loi suprême. C'est la seule référence qui compte pour juger une affaire. Les magistrats assermentés aux USA regardent simplement que la loi suprême soit respectée.

La leçon américaine est qu'aux USA, on ne peut pas justifier des crimes comme le font les Tribunaux suisses en invoquant le respect de procédure viciée à dessein.

   
6.2 Les observations du public suisse pour les crimes commis avec le secret professionnel des avocats
 

Dans la demande d'enquête parlementaire, le Public constate la violation manifeste des droits garantis par la Constitution fédérale et la CEDH avec les pratiques utilisées par les magistrats pour commettre des crimes qui font férmir. Comme le Sénat américain, il constate que le Conseil fédéral permet aux Tribunaux d'utiliser des procédures viciées qui permettent le crime organisé en Suisse.

Qui dit violation des droits fondamentaux dit aussi que l'article 35 de la Constitution a été violé par des magistrats assermentés

Les magistrats assermentés qui violent leur Serment de respecter l'article 35 cste sont à l'origine du crime organisé en Suisse. La violation de leur Serment est le principal moteur utilisé par la pègre suisse pour générer et appliquer des procédures déloyales.

   

 

7 CONCLUSION

 

7.1 La violation du Serment de respecter la Constitution
 

Les méthodes mises en place par les banques et les avocats pour commettre de la criminalité économique avec leur secret professionnel sont des méthodes de gangster. Elles violent les Valeurs de la Constitution. Elles reposent sur l'utilisation de procédures déloyales qui permettent de vicier les documents officiels et d'occulter astucieusement les données qui prouvent la criminalité.

Ce sont les cadres de la pègre suisse, soit des magistrats assermentés qui violent leur Serment de respecter la Constitution qui sont le moteur principal de cette criminalité dont des magistrats du Tribunal fédéral
   
7.2 La preuve du respect de leur Serment sera demandée à tous les magistrats travaillant sur les affaires présentées sur ce site
  Sur ce site, on va régulièrement demander à des magistrats assermentés de confirmer qu'ils ont respectés leur Serment dans leur prise de leur décision. Chacun pourra ainsi se faire sa propre opinion de ces magistrats.
   

 

 

8 ANNEXE :LE PARJURE DE MICHELINE CALMY-REY

 

8.1 Le parjure de Micheline Calmy-Rey ou la félonie de Micheline Calmy-Rey
 

Micheline Calmy-Rey alors qu'elle était présidente de la Confédération s'est parjurée pour protéger les intérêts d'un des parrains de la pègre suisse. En violant son Serment de respecter son devoir de fonction, elle a mis en place un nouveau verrou fédéral qui permet aux banques et avocats d'utiliser des avocats écrans pour commettre des crimes en toute impunité en Suisse et à l'étranger avec la protection du Tribunal fédéral.

Il lui a été demandé de confirmer qu'elle avait respecté son Serment lorsqu'elle s'est parjurée. Elle n'a pas pu le faire. Elle n'a pour autant pas réparé les dommages.

A notre connaissance, elle n'en parle pas dans son livre !

Cliquez ici pour accéder à sa félonie