SERMENT OU PARJURE |
OATH or BETRAYAL |
Ce site a pour but de rompre le silence sur les crimes économiques commis avec le pouvoir de magistrats qui violent leur Serment d'observer la Constitution et avec le pouvoir d'avocats qui abusent des privilèges qui les lient aux Tribunaux
LA PEGRE SUISSE, LES ROIS DU PARJURE
Pour illustrer ce fléau suisse, on prendra la félonie de Micheline Calmy-Rey avec ses protégés.
UN CRIME PRESQUE PARFAIT COMMIS PAR UN AVOCAT AVEC LE POUVOIR DU TRIBUNAL FEDERAL |
President Lausanne Palace |
President Confédération |
Président du Tribunal fédéral |
Dr Patrick Foetisch |
Mme Micheline Calmy-Rey |
Dr Claude Rouiller |
Introduction à la félonie de Micheline Calmy-Rey |
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En 1995, Patrick Foetisch, President administrateur s'accapare par une escroquerie du produit multimédia développé par la startup à M. Erni. Ensuite, il immobilise l'entreprise à M. Erni en se servant du pouvoir des avocats. Il s'agit de la première génération des applications multimédia interactive qui utilisent la technologie numérique pour communiquer et vendre par l'image. Ces applications permettent d'utiliser internet pour passer des commandes. M. Erni est l'un des pionniers à avoir incorporé de la publicité dans son application pour la financer. Il s'agit d'un produit similaire à celui développé par Jeff Bezos à la même époque aux USA qui a fait le succès d'AMAZON en exploitant les technologies nouvelles du numérique. Pendant que M. Erni a son entreprise immobillisée, un des amis à M. Foetisch lance une entreprise pour exploiter le produit volé. |
M. Foetisch est le President du Conseil d'administration de la société qui a commis l'escroquerie. Il justifice l'escroquerie en expliquant qu'il a deux casquettes, celle de President administrateur, mais aussi celle d'avocat. Il affirme qu'avec les relations qui lient les avocats aux Tribunaux et ses relations en haut lieu il est intouchable. En l'occurence cette année, c'est le Dr Claude Rouiller qui est le Président du Tribunal fédéral. Me Foetisch ajoute que si M. Erni veut porter plainte, non seulement ses infractions ne seront jamais instruites, mais il le fera démolir à faire de la procédure inutile en se servant du pouvoir des Tribunaux. |
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Due à l'escroquerie et à l'immobilisation de son entreprise par des membres de la pègre suisse complices de Me Foetisch, M. Erni perd son entreprise, soit un dommage de plusieurs millions. Toutes les pièces pour prouver l'escroquerie existent. Faisant confiance aux droits garantis par la Constitution suisse, M. Erni porte plainte. M. Foetisch tient alors ses promesses. Il lui montre comment les Tribunaux vicient les procédures et se servent de leur pouvoir pour commettre du crime organisé avec les membres des confréries d'avocats. En 2001, sur la base de la forfaiture et parjure de juges fédéraux, M. Erni dépose une plainte contre des Juges fédéraux. Des membres de la pègre suisse tenteront d'intimider M. Erni par des actions de malveillance. La plainte ne sera jamais instruite. |
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En 2002, M. Foetisch doit avoir quelques vapeurs parce que son ami avec lequel il a commis l'escroquerie va tomber. Sa chute devrait l'éclabousser. A nouveau la procédure judiciaire est viciée à la moelle. Son ami meurt, sans raison, mais juste à temps pour éviter l'éclaboussement. Cette fois, les avocats emploient les Grands moyens pour obtenir le silence de M. Erni. Me Ives Burnand, confrère à M. Foetisch l'accuse faussement en attribuant astucieusement des propos faux à un témoin. Par ce procédé M. Erni passe de victime en accusé. Ce témoin est le seul témoin qui peut démentir les propos faux qui lui ont été attribués. Il suffit à M. Erni de faire témoigner ce témoin pour rétablir la Vérité. M. Erni apprend alors que ce témoin a été interdit de témoigner par la confrérie à Me Yves Burnand ce qui démontre bien la dénonciation calomnieuse et la machination. Le jour du procès, le Président du Tribunal est sommé de faire témoigner ce témoin pour prouver la dénonciation calomnieuse. Ce dernier refuse en expliquant que son Tribunal a son pouvoir réduit par les confréries d'avocats. Dans le cas présent, il ne peut pas faire témoigner ce témoin de crimes interdit de témoigner par une confrérie d'avocat. C'est une violation manifeste des droits garantis par la Constitution ! Tout ce procès est secret, les enregistreurs ont été saisis, M. Erni se fait menacer dans les couloirs du Tribunal (il n'y avait pas de caméra). Le crime est presque parfait, à part que le Public présent dans la salle prend des notes. Il constate la violation des droits garantis par la Constitution et il dépose une demande d'enquête parlementaire sur les relations qui lient les avocats à la justice auprès du Grand Conseil vaudois. Sans ce témoignage du public, le crime commis par la pègre suisse aurait été parfait ! Cette demande d'enquête parlementaire montrent comment les magistrats, membre de la pègre suisse, peuvent violer les droits garantis par la Constitution fédérale en utilisant des procédures viciées. C'est le même type de méthode que celles décrites par Bradley birkenfeld qui ont servi à violer la loi américaine. Pour consulter le texte original de la demande d'enquête parlementaire, cliquez ici. |
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Le Grand Conseil vaudois va alors demander un avis de droit au Dr Claude Rouiller, le Président du Tribunal fédéral en 1995, soit l'une des hautes relations à Me Foetisch qui le rendait intouchable. |
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Dans le cadre de cette affaire, le Conseil fédéral a dit à M. Erni de déposer une demande en responsabilité des agents de la Confédération. |
Micheline Calmy-Rey, Présidente de la confédération, s'est alors parjurée en violant manifestement les Valeurs de la Constitution | |
Micheline Calmy-Rey qui est assermentée, a alors été invitée à attester qu'elle avait respecté son Serment. Elle a refusé de confirmer qu'elle avait respecté son Serment, mais elle n'a pas annulé sa décision ! |
SOMMAIRE :
1 | LES VALEURS SUISSES ET LES DROITS FONDAMENTAUX GARANTIS PAR LA CONSTITUTION FEDERALE (la loi suprême) |
Pour ceux qui ne connaissent pas les droits fondamentaux garantis par la Constitution fédérale qui est la loi suprême de la Suisse, vous pouvez les trouver sous l'onglet : "Valeurs suisses" Vous pouvez aussi trouver le texte de la Constitution fédérale sur le site de la Confédération www.admin. ch : N'oubliez pas que les Conseillers fédéraux et les magistrats sont les serviteurs de tous les citoyens. Ils ont l'obligation par leur Serment de respecter ces droits pour tous les citoyens. Ils ne peuvent en aucun cas appliquer une procédure qui viole visiblement les droits fondamentaux. Notre nation est souveraine et elle n'a jamais permis de tels abus de pouvoir. |
3 | LA LOI SUPREME SUISSE : LA CONSTITUTION FEDERALE |
3.2 | APPLICATION DE LA CONSTITUTION |
La rédaction des lois secondaires et des codes de procédures pour appliquer la Constitution est de la responsabilité du Parlement et des parlements cantonaux. Ces dernierr sont tenu de veiller au respect de la Constitution lors de leur rédaction comme le précise l'article 35 cste. |
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La responsabilité de la bonne application de la loi suprême revient au Conseil fédéral, il est tenu par serment de respecter la Constitution selon l'article 35 cste. |
3.3 | LE CONTROLE DE LA BONNE APPLICATION DE LA CONSTITUTION EST GARANTI PAR LE SERMENT DU CONSEIL FEDERAL | |||||||
Une Constitution qui n'est pas appliquée ne sert à rien. Si la volonté du peuple souverain n'est pas respectée, il n'y a plus d'Etat de droit |
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Pour assurer que la Constitution fédérale soit respectée, l'assemblée fédérale fait prêter Serment aux Conseillers fédéraux de respecter la Constitution fédérale. | ||||||||
Légende : le Président de la Confédération prêtant serment de respecter la Constitution | ||||||||
Note :
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3.4 | CHECKLISTE DE CONTROLE DU RESPECT DE LA CONSTITUTION (NON ACTIVE) | |||||||
Depuis les années 90, avec l'ouverture des marchés internationaux, il est admis dans l'industrie que l'assermentation d'une personne n'est pas une garantie suffisante pour assurer le respect d'une loi. La personne peut-être malhonnête ou distraite. Il faut au minimum un enregistrement daté et signé de la personne qui confirme qu'elle a respecté tous les points de la loi. Le document le plus utilisé et efficace est une checkliste énumérant les points à vérifier. La personne assermentée n'a qu'à cocher les points de contrôle et à les viser pour confirmer qu'elle a fait le contrôle. Ce document évite l'oubli d'une personne distraite. En cas de parjure de la personne assermentée, il y a une pièce écrite qui permet de vérifier les faits et de la faire juger si elle s'est parjurée. Actuellement, il n'y a pas de document permettant de contrôler qu'un magistrat a respecté l'article 35. Il faut le lui demander à chaque fois. Visiblement MIcheline Calmy-Rey a violé son Serment parce qu'il n'y avait pas de contrôle écrit qui l'en aurait dissuadé ! |
4 | MOYENS PERMETTANT D'ENRAYER LE BON FONCTIONNEMENT DE LA CONSTITUTION |
4.1 | PARJURE DU SERMENT DE RESPECTER LA CONSTITUTION FEDERALE |
Le parjure du Serment de respecter l'article 35 ct de la Constitution est l'un des éléments principaux utilisés par la pègre suisse pour commettre des crimes. Le parjure par un Conseiller fédéral de son Serment de respecter la Constitution enraye de manière dramatique le bon fonctionnement de la Constitution. La méthode utilisée par Micheline Calmy-Rey pour permettre le crime organisé avec le secret professionel de l'avocat est pire que les méthodes utilisées par UBS et décrites par Bradley Birkenfeld, pour tromper le fisc américain, (voir annexe point 8) |
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4.2 | Violation de la séparation des pouvoirs |
En Suisse, il n'y a pas d'école de magistrature. Les avocats et les juges appartiennent à la même famille. Le choix des juges se fait souvent par des avocats députés qui ont des intérêts cachés avec les magistats qu'ils proposent comme juge. Le législateur, composé en grande partie d'avocats, a prévu des privilèges pour les avocats et leur Confrérie. Ces privilèges dont le secret de l'avocat peuvent être utilisés pour commettre de la criminalité. Ils réduisent le pouvoir des tribunaux. Le législateur n'a pas pensé que des avocats allaient utiliser la réduction du pouvoir des Tribunaux découlant de leurs privilèges pour commettre des crimes. Dès qu'un avocat se sert du pouvoir des Tribunaux avec ses privilèges pour commettre des crimes, il n'y a plus de séparation des pouvoirs. Dans ce cas les droits fondamentaux des victimes sont d'office violés. Les privilèges accordés aux avocats qui leur permettent d'utiliser les Tribunaux pour commettre des crimes en toute impunité violent manifestement la séparation des pouvoirs. Cette violation de la séparation des pouvoirs enraye complètement le bon fonctionnement de la Constitution dans le cadre de crimes commis par des avocats. Les Tribunaux chargés de faire respecter la Constitution deviennent ceux qui violent la Constitution. |
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4.3 | Codes de procédure viciés |
Les codes de procédures ont été rédigés pour permettre la criminalité commise par des avocats et des initiés en violant astucieusement la loi suprême, soit la Constitution. Ils permettent d'utiliser des méthodes occultes, sans aucun contrôle, aussi astucieuses que les méthodes décrites par Bradley Birkenfeld pour contourner la loi suprême. Ils permettent de vicier les documents officiels en empêchant astucieusement d'établir la Vérité dans le respect des droits garantis par la Constitution. Au code pénal, un exemple qui donne la chair de poule aux américains est le fait qu'un prévenu peut mentir en Suisse. Rien de ce qu'il dit ne pourra être retenu contre lui. Alors qu'aux USA, dès qu'une personne est prévenue, on l'informe qu'elle a le droit de se taire mais que tout ce qu'elle dit pourra être retenu contre elle. Ce petit détail mis en place par la pègre suisse permet à n'importe quel menteur qui connaît la loi Suisse d'enrayer le fonctionnement de la Constitution. |
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4.4 | Procédures viciées |
Le pouvoir donné à un magistrat lui permet de vicier n'importe quelle procédure. Il lui suffit d'exclure les éléments qui montrent que la procédure ne peut pas être appliquée de la manière dont il le fait. Il en a le pouvoir s'il ne respecte par l'article 35 de la Constitution. Dès qu'un magistrat ne respecte l'article 35 de la Constitution, il peut vicier les procédures et enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution fédérale. Par exemple, en Suisse un Juge peut introduire le témoignage d'un témoin qui n'a jamais existé dans une ordonnance pour vicier son jugement et couvrir par exemple les crimes d'un avocat. Ce sont les méthodes analogues à celles décrites par Bradley Birkenfeld qui permettent aux magistrats d'enrayer complétement le bon fonctionnement de la Constitution. |
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4.5 | Procédures abusives |
Les privilèges accordés aux avocats dont les protections des tribunaux leur permettent de créer du dommage à des citoyens avec le pouvoir de l'Etat, en leur faisant faire des procédures abusives et viciées. Par exemple, un avocat peut attribuer des propos faux à un témoin de son crime pour accuser un autre citoyen à sa place. Il a le pouvoir d'interdire au Juge de faire témoigner ce témoin. Avec ces méthodes de gangster qui rappellent celles décrites par Bradley Birkenfeld, n'importe quel citoyen peut se faire juger sur la base de mensonges établis par des confréries d'avocats. Le parjure de Micheline Calmy-Rey qui légalise ces méthodes de la pègre suisse permet d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution. |
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4.6 | Relations liant les confréries d'avocats aux Tribunaux |
Les relations qui lient les membres des confréries d'avocats aux Tribunaux permettent d'empêcher le dépôt d'une plainte pénale contre un avocat qui a commis un crime. Elles permettent d'empêcher l'instruction de son infration. Elles réduisent le pouvoir des Tribunaux. Elles permettent d'accorder l'impunité à l'avocat. Elles permettent d'utiliser le pouvoir des Tribunaux pour harceler les victimes de ces crimes à faire de la procédure abusive. Le parjure de Micheline Calmy-Rey qui occulte astucieusement et couvre ces méthodes de la pègre suisse permet d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution. |
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4.7 | Privilèges accordés aux Confréries d'avocats |
Les privilèges accordés par le législateur aux Confréries d'avocats dans le cadre de crimes commis par des avocats violent d'office l'égalité de traitement devant la loi. Par exemple : Celui qui veut porter plainte pénale contre un Président administateur n'a pas besoin d'autorisation du Bâtonnier pour se faire défendre par un avocat. Celui qui veut porter plainte contre un Président administrateur avocat aura besoin d'une autorisation du Bâtonnier pour se faire défendre par un avocat. Il en résulte que les privilèges enrayent de manière catastrophique le bon fonctionnement de la Constitution |
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4.8 | Arrets viciés du Tribunal fédéral |
Le Tribunal fédéral, au profond mépris du respect de la Constitution, a prévu toute une série d'arrêts déloyaux pour entraver les actions judiciaires engagées contre des avocats. Par exemple, il admet astucieusement qu'un Tribunal ne peut pas faire témoigner un témoin de crime interdit de témoigner par une Confrérie d'avocat. Le parjure de Micheline Calmy-Rey qui occulte ces méthodes de la pègre suisse permet d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution. |
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4.9 | Documents viciés en général |
En Suisse, le pouvoir accordé aux Tribunaux leur permet de vicier les documents. Du moment qu'un magistrat ne respecte pas l'article 35 cste, tout est permis pour fausser la Vérité. Les pratiques les plus courantes sont l'omission de faits en faveur d'une partie pour falsifier les jugements. L'omission de faits est aussi subtile que les méthodes décrites par Bradley Birkenfeld pour tromper la justice américaine. Le magistrat suisse peut refuser d'entendre les principaux témoins d'un crime, écarter des faits ou reformuler astucieusement des faits décrits par des témoins lors de leur verbalisation. Ecarter les pièces gênantes et ne pas poser les questions essentielles aux témoins pour empêcher la Vérité d'être établie. Il y a toute une série de procédure qui permettent d'entraver le respect des Valeurs de la Constitution. Par exemple les ordonnances qui ne sont pas envoyées aux personnes concernées !, etc. Par exemple, dans le cas de l'affaire du Parjure de Micheline Calmy-Rey, on a vu des preuves à charge qui disparaissaient des dossiers, des témoins qui n'avaient jamais existés qui apparaissaient dans des ordonnances, soit un ensemble d'éléments qui permettent d'enrayer complètement le bon fonctionnement de la Constitution et qui apparaîtrait si les audiences étaient filmées comme aux USA. |
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5 | PRIVILEGES ACCORDES AUX AVOCATS QUI VIOLENT LA CONSTITUTION |
5.1 | Demande d'autorisation au Bâtonnier pour porter plainte contre un avocat d'affaire |
Lorsque M. Erni a voulu porter plainte pénale contre le Président administrateur Foetisch, son Conseil lui a appris qu'il fallait une autorisation du Bâtonnier pour porter plainte car le Président admnistrateur avait une casquette d'avocat. M. Erni ayant son entreprise immobilisée par M. Foetisch, a dû attendre des semaines pour obtenir l'autorisation. Finalememt, juste avant la pescription de la violation du copyright qui est à trois mois, le Bâtonnier, voisin de pallier de M. Foetisch, a refusé de donner l'autorisation. N'importe quel chef d'entreprise qui a son entreprise immobilisée par une escroquerie, et qui doit attendre des semaines une autorisation pour pouvoir déposer une plainte pénale subit un dommage considérable par ces discriminations. Les avocats n'avisent pas leurs clients qu'il faut une demande d'autorisation du Bâtonnier pour porter plainte contre un Président administrateur qui a une casquette d'avocat. La demande d'autorisation est une discrimination manifeste devant la loi soit une violation des droits fondamentaux. C'est une procédure déloyale qui permet à des professionnels de la loi d'entraver l'action judiciaire |
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5.2 | Protection de la double casquette |
Dans l'introduction à la félonie de Micheline Calmy-Rey, on a vu qu'un Président administrateur avocat, peut commettre un crime en tant qu'administrateur et utiliser son Titre d'avocat pour obtenir l'immunité. voir introduction à la félonie de micheline Le fait qu'un avocat peut à la fois commettre un crime en tant qu'homme d'affaire et à la fois se prévaloir de son Titre d'avocat pour jouir de la protection des Tribunaux viole manifestement le respect des droits fondamentaux. |
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5.3 | Réduction du pouvoir des Tribunaux par les Confréries d'avocats |
Le fait que le Bâtonnier a interdit que la plainte puisse porter contre le Président administrateur Foetisch, parce qu'il était avocat, réduit le pouvoir des Tribunaux et viole les droits fondamentaux. Le citoyen qui n'a pas étudié le droit, qui ne sait pas qu'il faut une autorisation du Bâtonnier pour porter plainte contre un Président administrateur, est d'office discriminé pour faire respecter ses droits fondamentaux. Il n'a aucune possibilité de se faire défendre par un avocat de manière équitable. Ces derniers étant liés aux Tribunaux. Il faut souligner que les confréries d'avocats sont des associations privées. Il n'y a aucune raison que ces associations privées disposent de protection des Tribunaux et qu'elle puissent par exemple interdire astucieusement qu'un juge puisse faire témoigner un témoin alors que les autres associations n'ont pas ce pouvoir. Ce sont les codes de procédures qui violent la Constitution fédérale. Les codes de procédures et les règles de déontologies réduisent le pouvoir des juges à celui de laquais de luxe des avocats pour contourner le respect des droits fondamentaux. |
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5.4 | L'absence de séparation des pouvoirs et d'indépendance des Tribunaux |
Les faits..... L'absence de séparation des pouvoirs entre les confréries d'avocats et les Tribunaux avec les liens qui lient les avocats aux Tribunaux viole manifestement les droits fondamentaux. Les Tribunaux ne sont ni neutres ni indépendants pour juger des cas de crimes commis par des membres de confréries. Il s'agit d'une violation manifeste des droits fondamentaux. Plus grave encore, avec les codes de procédures et les règles de déontologies actuelles, le rôle des Tribunaux est réduit à celui de laquais de luxe des avocats. En particulier, la pègre des avocats suisses peut utiliser le pouvoir des Tribunaux pour commettre des crimes et faire faire de la procédure abusive à leurs victimes en toute impunité. |
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5.5 | La protection du Tribunal fédéral accordée aux avocats pour commettre des crimes en toute impunité |
Le Tribunal fédéral n'échappe pas à la règle. Un tel arrêt viole manifestement les règles de la bonne foi et les droits fondamentaux, il est un cas d'école. Il montre surtout qu'il y a eu violation de la séparation des pouvoirs. Dans le cas ci-dessus, les juges fédéraux assermentés avaient l'obligation de se récuser pour respecter leur Serment, ils ne pouvaient pas prendre une décision sur des crimes commis avec le pouvoir de leur Tribunal ! Cet arrêt montre comment les relations qui lient les confréries d'avocats au Tribunal fédéral leur permettent de vicier les documents officiels en écartant tous les faits qui montrent la violation des droits fondamentaux garantis par la Constitution fédérale. Le Tribunal fédéral avec les confréries d'avocats utilisent les méthodes procédurales décrites par Bradley Birkenfeld aux USA pour contourner astucieusement la Constitution suisse. Après les directeurs de banque qui se font arrêter aux USA pour contourner la loi américaine, ce sera peut-être demain les avocats écran et les juges fédéraux qui les protègent qui seront arrêtés aux USA pour manipuler astucieusement les procédures pour contourner le respect de la loi suprême. |
6 | VIOLATION DES VALEURS CONSTITUTIONNELLES |
6.1 | Les observations du Sénat américain pour les crimes commis avec le secret professionnel des banques |
Le Sénat américain a observé que les méthodes mises en place par les banques pour commettre de la criminalité économique sont des méthodes de gangster. Ce sont des procédures déloyales. La leçon américaine est qu'aux USA, on ne peut pas justifier des crimes comme le font les Tribunaux suisses en invoquant le respect de procédure viciée à dessein. |
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6.2 | Les observations du public suisse pour les crimes commis avec le secret professionnel des avocats |
Dans la demande d'enquête parlementaire, le Public constate la violation manifeste des droits garantis par la Constitution fédérale et la CEDH avec les pratiques utilisées par les magistrats pour commettre des crimes qui font férmir. Comme le Sénat américain, il constate que le Conseil fédéral permet aux Tribunaux d'utiliser des procédures viciées qui permettent le crime organisé en Suisse. Qui dit violation des droits fondamentaux dit aussi que l'article 35 de la Constitution a été violé par des magistrats assermentés Les magistrats assermentés qui violent leur Serment de respecter l'article 35 cste sont à l'origine du crime organisé en Suisse. La violation de leur Serment est le principal moteur utilisé par la pègre suisse pour générer et appliquer des procédures déloyales. |
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7 | CONCLUSION |
7.1 | La violation du Serment de respecter la Constitution |
Les méthodes mises en place par les banques et les avocats pour commettre de la criminalité économique avec leur secret professionnel sont des méthodes de gangster. Elles violent les Valeurs de la Constitution. Elles reposent sur l'utilisation de procédures déloyales qui permettent de vicier les documents officiels et d'occulter astucieusement les données qui prouvent la criminalité. Ce sont les cadres de la pègre suisse, soit des magistrats assermentés qui violent leur Serment de respecter la Constitution qui sont le moteur principal de cette criminalité dont des magistrats du Tribunal fédéral |
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7.2 | La preuve du respect de leur Serment sera demandée à tous les magistrats travaillant sur les affaires présentées sur ce site |
Sur ce site, on va régulièrement demander à des magistrats assermentés de confirmer qu'ils ont respectés leur Serment dans leur prise de leur décision. Chacun pourra ainsi se faire sa propre opinion de ces magistrats. | |
8 | ANNEXE :LE PARJURE DE MICHELINE CALMY-REY |
8.1 | Le parjure de Micheline Calmy-Rey ou la félonie de Micheline Calmy-Rey |
Micheline Calmy-Rey alors qu'elle était présidente de la Confédération s'est parjurée pour protéger les intérêts d'un des parrains de la pègre suisse. En violant son Serment de respecter son devoir de fonction, elle a mis en place un nouveau verrou fédéral qui permet aux banques et avocats d'utiliser des avocats écrans pour commettre des crimes en toute impunité en Suisse et à l'étranger avec la protection du Tribunal fédéral. Il lui a été demandé de confirmer qu'elle avait respecté son Serment lorsqu'elle s'est parjurée. Elle n'a pas pu le faire. Elle n'a pour autant pas réparé les dommages. A notre connaissance, elle n'en parle pas dans son livre ! |
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