Quelle est la différence entre : "Arbeit macht frei" et " Droit confrérique" Il n 'y en a aucune ce sont deux formules trompeuses et cyniques qui ouvrent la porte à la violation des droits de l'Homme !
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PREAMBULE Le marché de la justice est entièrement contrôlé par les Conféries ou associations d'avocats en Suisse. Les politiciens, dont les membres des Confréries, ont mis en place ce qu'on appelle le droit confrérique, soit des règles qui lient l'ensemble des Tribunaux aux membres des Confréries. Ces règles pemettent aux membres des Confréries de commettre des crimes en toute impunité en réduisant le pouvoir des Tribunaux au profit du pouvoir des Confréries. Dans la Vie, n'importe quel citoyen peut-être un jour victimes de crimes de membres de Confrérie. Les Tribunaux normaux n'ont pas les compétences pour juger ces crimes commis au sein des Tribunaux avec le droit confrérique. Les politiciens n'aiment pas remuer cette racaille qui a les bras très longs en Suisse et qui peut les gêner dans leur mandat politique. Ils en ont même peur. Une fois qu'ils sont élus, la puissance du pouvoir monte vite à la tête des politiciens. Ils oublient très rapidement leur Serment de respecter les Valeurs de la Constitution pour lesquels ils se sont fait élire . Violation l'article 35 de la Constitution. Ils préfèrent s'agenouiller devant le pouvoir des membres des Confréries, voir s'associer à ces derniers pour violer machiavéliquement les Valeurs de la Constitution. Le droit Confrérique est une des formes du fascisme les plus machiavéliques qui existe. C'est un droit qui discrimine les citoyens. Il permet aux membres des Confréries d'octroyer à leur classe toute la puissance de l'Etat pour renforcer leur acquis et discriminer les autres citoyens. Le droit confrérique est une astucieuse tromperie du monde politique. Il fait du tort aux Valeurs de la Suisse, j'ai décidé de publier ici l'arrêt de droit conférique du 31 mars 2010 qui me concerne personnellement et qui montre comment les avocats au sein des parlements utilisent le pouvoir politique pour violer les droits garantis par la Convention européenne des droits de l'Homme Je vais publier la prise de position de différents dirigeants face à cet arrêt de droit confrérique qui est une forfaiture sans nom dans un Etat de droit. Chacun pourra ainsi découvrir une face inédite de nos dirigeants. A chacun de se demander si la Suisse n'est pas devenue un Etat néo fasciste.
POUR RAPPEL: LE NEOFASCISME désigne l'idéologie et l'ensemble des mouvements prétendant trouver leur inspiration dans le fascisme et l'entre-deux-guerres. LE FASCISME est la doctrine de Mussolini érigée en système politique. Elle désigne un régime politique mis en place par une classe bourgeoise dominante pour protéger ses acquis économiques. Cette classe prône la toute puissance de l'Etat sous son contrôle. Elle utilise la terreur pour maintenir son pouvoir. Cette classe politique met en place des procédures pour réduire le pouvoir des Tribunaux en faveur du pouvoir de leurs membres. L'objectif est d'obtenir que leurs membres puissent commettre des crimes en toute impunité. Exemple historique de régime fasciste : le contrôle de l'Etat nazi par les SS Exemple actuel de régime fasciste : le contrôle de la justice suisse et du pouvoir de la Confédération par les Confréries Pour beaucoup d'initiés, le suicide de Friedrich Leibacher en 2001, suite aux harcèlements de Robert Bisig, est lié à cette montée du fascisme en Suisse. Des membres du Grand Conseil neuchâtelois, selon un rapport de police, considèrent que les politiciens, qui discriminent les citoyens en ne mettant pas fin aux actes fascistes commis avec le droit confrérique mériteraient la mort. Vaut-il mieux tuer des chefs d'Etat fascistes comme Hitler, Kadhafi, ou les politiciens néo fascistes actuels, ou laisser des miliers de citoyens se faire massacrer dans un camp d'Auschwitz? La question que se pose nos politiciens est plus que légitime! Dans ce contexte, Friedrich Leibacher a ouvert une brèche montrant que LA SUPREMATIE DU DROIT CONFRERIQUE peut faire couler le sang.
LE COMBAT DE PHILIPPE BAUER POUR LA SUPREMATIE DU DROIT CONFRERIQUE, SOIT UNE SUISSE FASCISTE DONT LE POUVOIR DE l'ETAT EST SOUS LE CONTRÔLE DES MEMBRES DES CONFRERIES Me Philippe Bauer, le vice-Président du Grand Conseil neuchâtelois, politicien néo fasciste et néo libéral, donne un bon exemple comment les Confréries dominent le monde politique en Suisse en abusant de la puissance de l'Etat pour permettre aux membres de leur classe de commettre des crimes en toute impunité. Me Philippe Bauer, pour éviter la prison à de ses confrères impliqués dans de la criminalité économique crapuleuse, a tout simplement obtenu du Tribunal fédéral un arrêt machiavélique qui empêche les Tribunaux de pouvoir faire témoigner le témoin des crimes de ses Confrères. C'est l'arrêt de droit Confrérique du 31 mars 2010. A découvrir ci-dessous. |
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L'ARRÊT DE DROIT CONFRERIQUE DU 31 mars 2010 du TF QUI MUSELE MACHIAVELIQUEMENT LES TEMOINS DE CRIMES C'est une affaire très simple dont vous trouverez le résumé en cliquant ici. Le résumé faisant référence à une demande d'enquête parlementaire vous trouverez la demande d'enquête parlementaire en cliquant ici. Comme vous l'avez lu dans le résumé, la justice neuchâteloise avait reconnu que l'interdiction de témoigner dans ce contexte de crime commis par des était illicite. Vous trouverez le jugement neuchâtelois en cliquant ici. (version originale 5MB) Comme vous l'avez compris le juge Jean Treccani, Me Burnand, voire plusieurs juges fédéraux seraient passibles de prison s'ils n'avaient pas fait sauter le jugement neuchâtelois. Vous trouverez l'arrêt de droit confrérique du 31 mars 2010 du TF qui fait sauter le jugement et qui discrimine les citoyens accusés avec des propos faux attribués à un membre de Confrérie en cliquant ici. Il faut retenir que cet arrêt de droit confrérique donne le pouvoir aux Confréries de réduire le pouvoir des Tribunaux en pouvant leur interdire de faire témoigner un témoin de crimes de membres de leur Confrérie.
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En résumé : Selon les règles de la bonne foi et les pièces au dossier qu'ils n'ont pas citées, les juges fédéraux savent que j'ai été faussement accusé par Me Burnand associé au juge Jean Treccani avec la complicité de juges fédéraux. Ils savent que ces derniers ont astucieusement falsifié le contenu de la conversation téléphonique du 1er février 1995 entre Me Burnet / moi-même et 4M, pour faire croire que Me Burnet avait autorisé la reproduction du CD avec un faux contrat. Ce pouvoir des Confréries d'interdire à un témoin de crimes de leurs membres de témoigner est un droit confrérique qui discrimine les citoyens ! Les Juges fédéraux savent que seul les membres des Confréries peuvent empêcher un Tribunal d'entendre un témoin de leurs crimes. Les Juges fédéraux savent qu'il y a violation manifeste des droits fondamentaux garantis par la Constitution. Plus encore, les juges fédéraux savent que Me Schaller a alors dit au Juge Bertrand Sauterel, que la Confrérie de Me Burnand réduisait le pouvoir des Tribunaux et qu'il devait porter plainte contre la Confrérie à Me Burnand pour pouvoir faire témoigner Me Burnet (voir demande enquête parlementaire). Ils savent que le Juge Bertrand Sauterel n'a pas osé porter plainte contre la Confrérie, ou qu'il était complice de la forfaiture. Ils savent que puisque les Tribunaux ne peuvent pas faire témoigner un témoin de crimes d'hommes de loi interdit de témoigner par les Confréries et qu'ils en ont peur, on a demandé un jugement qui reconnaisse que dans ce contexte donné de forfaiture où des propos faux étaient attribués à Me Burnet pour m'accuser : "l'interdiction de témoigner faite par les Confréries soit reconnue comme un acte illicite". Ainsi le pouvoir des Tribunaux n'aurait plus été réduit ! Pourtant dans leur arrêt, les Juges fédéraux disent en violant les Valeurs de la Constitution que l'interdiction faite au témoin des crimes de témoigner par la Confrérie est licite, i.e. qu'ils reconnaissent que l'ensemble des Tribunaux y inclus le Tribunal fédéral ont leur pouvoir réduit par les Confréries. Ils reconnaissent que les Tribunaux ont leur pouvoir réduit par les Confréries et qu'ils ne peuvent pas faire témoigner un témoin de crimes de membres de Confrérie interdit de témoigner par la Confrérie de ce criminel. Ils reconnaissent que la Suisse est devenue un Etat fasciste. Avec cet arrêt de droit confrérique, n'importe quel Monsieur X, peut se faire faussement accuser avec des propos faux attribués à un membre de Confrérie soit Me Y. Si la Confrérie interdit aux Tribunaux de faire témoigner Me Y, il n'existe aucun moyen de se défendre à part que de rendre la justice soi-même.
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